Au fur et à mesure que les pages sont tournées, le champ (le chant) s’élargit et la voix profonde du destin des hommes s’ouvre de plus en plus vers le devenir tout autant matériel que poétique de l’humanité (…).Titrer «Du communisme…» aurait été tronquer, passer à côté du sens profond de ces nombreuses belles pages qui, à la fois, nous contraignent à réfléchir, politiquement et humainement. «Il n’y a pas, il ne saurait y avoir, de droit de propriété sur le communisme»… «sans ligne de démarcation» (pp…). Passant outre aux «modestes satisfactions individuelles», on est guidé en une expression christique vers les «liens avec ses prochains» et le «destin infini du genre humain». (…) Et, pour nous apporter un instant d’évasion, de lévitation presque, et nous inviter au rêve en ouvrant grand, très grand nos bras, et notre moi profond, les poèmes sont là…
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