- EAN13
- 9782130593232
- ISBN
- 978-2-13-059323-2
- Éditeur
- Presses universitaires de France
- Date de publication
- 26/01/2013
- Séries
- Sociologie comparée du cannibalisme (3)
- Nombre de pages
- 390
- Dimensions
- 21,6 x 15 x 1,8 cm
- Poids
- 539 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 394.9
3 - Sociologie comparée du cannibalisme. III
Ennemis intimes et absorptions équivoques en Amérique
De Georges Guille-Escuret
Presses universitaires de France
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L’Amérique représente pour l’anthropologie sociale un continent « à part », avec des continuités et des récurrences surprenantes qui sous-tendent une diversité extrême des formes culturelles. Des spécialistes ont ainsi subodoré l’existence d’une « idéologie panamérindienne » centrée sur la conception de l’autre, ennemi ou allié. Le thème du cannibalisme confirme cette diversité mais aussi les récurrences : nulle part ailleurs, on ne le voit aussi profondément ancré dans des structures rituelles. Du Brésil des Tupis aux Grands Lacs des Iroquois, mais aussi du royaume aztèque aux civilisations andines, il confirme son rôle de révélateur des choix politiques primordiaux.
Ce dernier volume d’une trilogie consacrée aux pratiques culturelles du cannibalisme dans le monde s’achève sur une discussion synthétique qui souligne quelques raisons de l’émergence du fait, mais surtout entoure les motifs de son incompatibilité avec une civilisation s’efforçant d’exercer un plein contrôle sur les hommes et sur les groupes humains.
Docteur en biologie et en ethnologie, Georges Guille-Escuret, est chercheur au CNRS (Centre Norbert Elias, Marseille). Il a publié plusieurs essais en utilisant sa double formation pour préciser les relations nécessaires entre écologie et sciences sociales sur des thèmes porteurs d’équivoques significatives. Le cannibalisme était à cet égard un sujet crucial et symptomatique et ce troisième volume conclut une recherche qui aura parcouru l’ensemble des sociétés humaines.
Ce dernier volume d’une trilogie consacrée aux pratiques culturelles du cannibalisme dans le monde s’achève sur une discussion synthétique qui souligne quelques raisons de l’émergence du fait, mais surtout entoure les motifs de son incompatibilité avec une civilisation s’efforçant d’exercer un plein contrôle sur les hommes et sur les groupes humains.
Docteur en biologie et en ethnologie, Georges Guille-Escuret, est chercheur au CNRS (Centre Norbert Elias, Marseille). Il a publié plusieurs essais en utilisant sa double formation pour préciser les relations nécessaires entre écologie et sciences sociales sur des thèmes porteurs d’équivoques significatives. Le cannibalisme était à cet égard un sujet crucial et symptomatique et ce troisième volume conclut une recherche qui aura parcouru l’ensemble des sociétés humaines.
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