- EAN13
- 9782702148341
- Éditeur
- Calmann-Lévy
- Date de publication
- 07/05/2003
- Langue
- français
Autre version disponible
-
Papier - Calmann-Lévy 27,90
Pourquoi la France, hier " fille aînée " de l'Eglise qui, au XXe siècle, ne
compte-t-elle plus de grands intellectuels catholiques? Pourquoi l'Eglise, qui
a formé des générations de militants pour la politique ou le syndicalisme,
a-t-elle perdu aussi ses grands mouvements de jeunes et d'adultes qui
voulaient, à la fois, changer la France et rechristianiser le pays ? Pourquoi
la France n'ordonne plus qu'une centaine de prêtres par an, au lieu de mille
avant les années 60 ?
Henri Tincq retrace l'histoire des quarante dernières années du catholicisme
français: crise des intellectuels, crise des militants, crise du clergé, crise
des fidèles, crise du dogme et de la norme. Les crises du catholicisme sont
les symptômes d'une société française également malade. Les religions peinent
à y trouver leur place. Les " absolus " religieux irritent. On ne retient du
discours de l'Eglise que les interdits sur la contraception, l'avortement, le
préservatif...
L'Eglise connaît une traversée du désert qui risque de durer longtemps.
Comment retrouver une crédibilité intellectuelle, renouer le dialogue avec le
monde politique, artistique, médiatique, scientifique ? Comment être davantage
présente au monde, audible et pertinente ? L'Eglise n'a d'avenir que si elle
redevient une force de proposition, d'accueil et de tolérance dans un monde de
violences et de conflits.
compte-t-elle plus de grands intellectuels catholiques? Pourquoi l'Eglise, qui
a formé des générations de militants pour la politique ou le syndicalisme,
a-t-elle perdu aussi ses grands mouvements de jeunes et d'adultes qui
voulaient, à la fois, changer la France et rechristianiser le pays ? Pourquoi
la France n'ordonne plus qu'une centaine de prêtres par an, au lieu de mille
avant les années 60 ?
Henri Tincq retrace l'histoire des quarante dernières années du catholicisme
français: crise des intellectuels, crise des militants, crise du clergé, crise
des fidèles, crise du dogme et de la norme. Les crises du catholicisme sont
les symptômes d'une société française également malade. Les religions peinent
à y trouver leur place. Les " absolus " religieux irritent. On ne retient du
discours de l'Eglise que les interdits sur la contraception, l'avortement, le
préservatif...
L'Eglise connaît une traversée du désert qui risque de durer longtemps.
Comment retrouver une crédibilité intellectuelle, renouer le dialogue avec le
monde politique, artistique, médiatique, scientifique ? Comment être davantage
présente au monde, audible et pertinente ? L'Eglise n'a d'avenir que si elle
redevient une force de proposition, d'accueil et de tolérance dans un monde de
violences et de conflits.
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