Autre version disponible
-
Papier - Éclats d'encre 12,00
De l’éblouissement face aux œuvres d’art à l’éveil des paysages intérieurs.
« Je danse à la mort, brulée de froid.
L’hiver m’a dénudée.
Je suis l’ultime éclair des frimas. »
« Je danse à la mort, brulée de froid.
L’hiver m’a dénudée.
Je suis l’ultime éclair des frimas. »
S'identifier pour envoyer des commentaires.