Le monde n'a pas de fin
Traduit de l'anglais (Pakistan) par Emmanuelle et Philippe Aronson
Bilal Tanweer
Stock
Autre version disponible
-
Papier - Stock 19,00
Le monde n’a pas de fin est une ode à Karachi, l’hommage d’un « écrivain dans
la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite à sa violence. Il en rassemble
les fragments pour voir au-delà des apparences et faire surgir le monde
fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les bombes. Dans le bus qui
mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois générations de
personnages qui racontent leur histoire : le père magicien, l’écolier repenti,
le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure…
« Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même monde »,
écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et vivante en
toutes circonstances.
la ville » qui ne veut pas qu’elle soit réduite à sa violence. Il en rassemble
les fragments pour voir au-delà des apparences et faire surgir le monde
fascinant d’avant l’islamisation forcenée, d’avant les bombes. Dans le bus qui
mène du centre ville à la mer, se croisent ainsi trois générations de
personnages qui racontent leur histoire : le père magicien, l’écolier repenti,
le Camarade poète Sukhanza, le caïd amoureux, le diseur de mauvaise aventure…
« Quand on raconte une histoire à quelqu’un, nous sommes dans le même monde »,
écrit Bilal Tanweer et, avec lui, on aime cette ville bruyante et vivante en
toutes circonstances.
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