La Societe Du Bien-Etre

Agustín García Calvo, La Société du Bien-être

Traduit de l’espagnol par Manuel Martinez

Préface de Luis Andrés Bredlow

Texte de la quatrième de couverture :

Les biens du Bien-être ont le goût du vide

Dans la Société du Bien-être, gravir la pyramide du pouvoir est l'équivalent rigoureux du fait de se vendre. Et, pour se vendre, il faut bien que quelqu'un achète. Comment parvient-on à ce qu'État ou Capital veuillent nous acheter ? Comme Ils ne sont que Crédit fondé sur la Foi, la condition sera celle de la Foi : il suffira que l'on croit bien, pour avoir du crédit et s'élever.

Pour renverser cette Religion ultime (l'Économie, l'Idée de l'Argent), il suffit que soient un peu divulgués les soupçons sur le vide de cette Foi. Il suffit qu'une rumeur de doute, qu'une odeur de soupçon se répandent suffisamment dans telle succursale du Capital et dans telle autre, dans ce pinacle de consortiums ou dans cet autre pour que la découverte du vide du Dieu-Argent devienne menaçante, pour que rapidement se fissure et s'ef潦摮敲甠浅楰敲映湯攠瑮敲敭瑮猠牵氠⁥牃擩瑩‬畳⁲慬䘠楯മ䈍潩牧灡楨⁥敤氠憒瑵略ꁲഺ杁獵慇捲懭䌠污潶⠠㤱㘲㈭㄰⤲攠瑳甠桰汩汯杯敵‬楬杮極瑳ⱥ瀠整‬牤浡瑡牵敧‬獥慳楹瑳⁥瑥瀠楨潬潳桰⁥獥慰湧汯മ䌍牡捡楲瑳煩敵⁳敤氠澒癵慲敧㪠䘍牯慭⁴ㄱ砠ㄠ‸浣

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摧⏸|ᜀNombre de pages : 120

Reliure : broché

Genre : essai

Code Clil : 2342

Prix TTC : 9 euros

Mise en vente : 19 juin 2014