- EAN13
- 9782358710541
- ISBN
- 978-2-35871-054-1
- Éditeur
- Atelier du poisson soluble
- Date de publication
- 10/2013
- Collection
- HORS CADRE[S] (13)
- Nombre de pages
- 48
- Dimensions
- 30 x 20 x 0,4 cm
- Poids
- 170 g
- Langue
- français
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En raison des progrès techniques, de la généralisation de l’outil informatique pour la réalisation d’images, mais aussi de la redécouverte de la sérigraphie, l’utilisation de la couleur a largement progressé dans la création et l’impression de l’album et de la bande dessinée.
Jusqu’à constituer le fait le plus marquant des tendances récentes.
Le numéro 13 de la revue revient sur ces évolutions, notamment dans le domaine de l’album pour la jeunesse, en offrant de multiples points de vue sur la production depuis ses origines ou encore en interrogeant les différents acteurs de la chaîne de fabrication.
Ce numéro s’attache surtout à proposer une esquisse du paysage actuel, bande dessinée comprise, en s’intéressant particulièrement aux créateurs qui utilisent la couleur comme une dimension centrale de leur travail, du duo Icinori – qui en signe la couverture originale –, à Atak, Ajubel, Blexbolex, Brecht Evens, Anaïs Vaugelade, au collectif norvégien Yokoland ou encore Květa Pacovská (un article sur les évolutions de l’illustration en république Tchèque est d’ailleurs également au sommaire) ; tandis que Yann Fastier dit son amour de la couleur “humide” et que Gaëtan Dorémus revient sur sa propre pratique chromatique.
Jusqu’à constituer le fait le plus marquant des tendances récentes.
Le numéro 13 de la revue revient sur ces évolutions, notamment dans le domaine de l’album pour la jeunesse, en offrant de multiples points de vue sur la production depuis ses origines ou encore en interrogeant les différents acteurs de la chaîne de fabrication.
Ce numéro s’attache surtout à proposer une esquisse du paysage actuel, bande dessinée comprise, en s’intéressant particulièrement aux créateurs qui utilisent la couleur comme une dimension centrale de leur travail, du duo Icinori – qui en signe la couverture originale –, à Atak, Ajubel, Blexbolex, Brecht Evens, Anaïs Vaugelade, au collectif norvégien Yokoland ou encore Květa Pacovská (un article sur les évolutions de l’illustration en république Tchèque est d’ailleurs également au sommaire) ; tandis que Yann Fastier dit son amour de la couleur “humide” et que Gaëtan Dorémus revient sur sa propre pratique chromatique.
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