- EAN13
- 9782823619591
- ISBN
- 978-2-8236-1959-1
- Éditeur
- Éditions de L'Olivier
- Date de publication
- 19/08/2022
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 20,6 x 14,2 x 2 cm
- Poids
- 244 g
- Langue
- français
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Vendu par Librairie Le Préau et la Cour des Grands18.00
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Prix Femina des lycéens 2022.
« Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur. »
Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Quelques lettres et tout change. À son arrivée, enfant, à Saint-Étienne, au lendemain de la chute de l'URSS, elle se dédouble : Polina à la maison, Pauline à l'école. Vingt ans plus tard, elle vit à Montreuil. Elle a rendez-vous au tribunal de Bobigny pour tenter de récupérer son prénom.
Ce premier roman est construit autour d'une vie entre deux langues et deux pays. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celle des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina. De l'autre, la France, celle de la materneltchik, des mots qu'il faut conquérir et des Minikeums.
Drôle, tendre, frondeur, Tenir sa langue révèle une voix hors du commun.
« Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur. »
Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Quelques lettres et tout change. À son arrivée, enfant, à Saint-Étienne, au lendemain de la chute de l'URSS, elle se dédouble : Polina à la maison, Pauline à l'école. Vingt ans plus tard, elle vit à Montreuil. Elle a rendez-vous au tribunal de Bobigny pour tenter de récupérer son prénom.
Ce premier roman est construit autour d'une vie entre deux langues et deux pays. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celle des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina. De l'autre, la France, celle de la materneltchik, des mots qu'il faut conquérir et des Minikeums.
Drôle, tendre, frondeur, Tenir sa langue révèle une voix hors du commun.
Commentaires des libraires
Comment je m'appelle et, donc, qui suis-je ?
Polina Panassenko écrit avec ses tripes, c'est la 1ère chose que je me dis une fois terminé ce roman, qui en dit très long sur son auteure. Avec ses tripes et avec humour, adoptant, pour raconter le voyage d'une fillette ...
Lire la suiteDAMIEN
« Pensez-vous que ce soit dans votre intérêt d’avoir un prénom russe dans la société française ? » lui demande la procureure, parfaitement incrédule. Quand Polina - ou Pauline, elle ne le sait plus vraiment - est arrivée en France ...
Lire la suiteCommentaires des lecteurs
Lorsque la poésie affleure de ce texte, Polina Panassenko, et avec elle ses semblables, triomphe devant notre suffisance. Et, ce texte où la colère n’est jamais loin, reste présent bien après avoir refermé le livre. Premier roman très personnel, Tenir ...
Lire la suiteLes fenêtres de Moscou
1993. La jeune Polina s’installe en France avec sa mère et sa sœur. Entamant le récit de ses démarches administratives pour récupérer son prénom russe, elle retrace ses dernières années à Moscou au cours desquels elle cacha son judaïsme, son ...
Lire la suiteenfance, langue maternelle
L’auteure souhaite récupérer son prénom de naissance Polina, francisé sur demande de son père à leur arrivée en France. Au fil des chapitres, nous suivons l’enfance de la narratrice née à Moscou, habitant un appartement communautaire avec ses grands-parents ; ...
Lire la suiteUn nom, une histoire
Polina souhaiterais reprendre l'orthographe russe de son prénom qui a été franciser à son arrivée en France pour "facilité son intégration". Mais cette action en justice n'est pas des plus simple et c'est un combat qui s'engage. Pour enfin pouvoir ...
Lire la suite