- EAN13
- 9782358710237
- ISBN
- 978-2-35871-023-7
- Éditeur
- Atelier du poisson soluble
- Date de publication
- 10/03/2011
- Collection
- HORS CADRE[S]
- Nombre de pages
- 48
- Dimensions
- 30 x 20 x 0,4 cm
- Poids
- 230 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 741
Trouvez les offres des librairies les plus proches :
ou
Offres
Le n° 8 explore la question du temps dans l’album et la bande dessinée.
Comment l’image fixe, même séquentielle, même organisée au sein d’un support, réussit-elle à représenter, à exprimer, à suggérer le temps ?
Les réponses sont diverses, et sont d’abord à rechercher dans la forme pure, dans l’impact du graphisme sur l’impression de temps qu’il peut susciter, notamment par l’usage de la couleur directe, sans cerner les formes, à la manière d’un Blexbolex qui signe la couverture de ce numéro.
À rechercher aussi dans la capacité du livre à tronquer l’ordonnance spatio-temporelle, comme dans la bande dessinée de science-fiction, ou au contraire à mimer son implacable logique via ses cadrans et autres instruments de mesure.
D’autres réponses fructueuses sont apportées par l’étude du temps du livre confronté au temps de la lecture, développées par Patrick Borione et par Yann Fastier.
Autant de pistes pour un numéro qui en revient toujours à l’émotion du lecteur, comme nous le montrent aussi bien une interview de Beatrice Alemagna, que l’étude de quatre albums contemporains qui lient le temps à la mort ou celle des albums de Enzo et Iela Mari qui le relient, eux, à la vie.
Comment l’image fixe, même séquentielle, même organisée au sein d’un support, réussit-elle à représenter, à exprimer, à suggérer le temps ?
Les réponses sont diverses, et sont d’abord à rechercher dans la forme pure, dans l’impact du graphisme sur l’impression de temps qu’il peut susciter, notamment par l’usage de la couleur directe, sans cerner les formes, à la manière d’un Blexbolex qui signe la couverture de ce numéro.
À rechercher aussi dans la capacité du livre à tronquer l’ordonnance spatio-temporelle, comme dans la bande dessinée de science-fiction, ou au contraire à mimer son implacable logique via ses cadrans et autres instruments de mesure.
D’autres réponses fructueuses sont apportées par l’étude du temps du livre confronté au temps de la lecture, développées par Patrick Borione et par Yann Fastier.
Autant de pistes pour un numéro qui en revient toujours à l’émotion du lecteur, comme nous le montrent aussi bien une interview de Beatrice Alemagna, que l’étude de quatre albums contemporains qui lient le temps à la mort ou celle des albums de Enzo et Iela Mari qui le relient, eux, à la vie.
S'identifier pour envoyer des commentaires.