- EAN13
- 9782266209786
- ISBN
- 978-2-266-20978-6
- Éditeur
- Date de publication
- 23/06/2010
- Collection
- Pocket. Littérature classique petit prix (PPO 006104)
- Nombre de pages
- 224
- Dimensions
- 17,9 x 10,8 x 1,1 cm
- Poids
- 119 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 372
Le malade imaginaire
De Molière
Préface de Jacqueline Sudaka-Benazeraf
Pocket. Littérature classique petit prix
Le texte intégral, présenté, commenté et analysé.
Édition présentée et commentée par Jacqueline Sudaka-Bénazéraf, professeur au lycée Buffon (Paris).
Pour son adieu au théâtre et à la vie, avec une prémonition déchirante, Molière donne une comédie " mêlée de musique et de danse ", un chef-d'œuvre de force et de gaieté. À 51 ans, épuisé, il coiffe le bonnet d'Argan, le malade imaginaire esclave de sa manie et jouet de ses nerfs. Bourgeois hypocondriaque, il prétend marier sa fille, l'impertinente et joyeuse Angélique, à ce nigaud de Thomas Diafoirus, son médecin personnel. Plus pitoyable que méchant, celui-ci rêve que la Faculté le reçoive comme l'un des siens. Molière compose la plus puissante satire qu'on fit jamais sur cette science parfois imbécile. Pour faire rire, il fait du faux avec du vrai, et donne le spectacle bouleversant de sa propre agonie.
Lire avec le texte intégral et la préface
Comprendre avec Les clés de l'œuvre
21 pages pour aller à l'essentiel
58 pages pour approfondir
Édition présentée et commentée par Jacqueline Sudaka-Bénazéraf, professeur au lycée Buffon (Paris).
Pour son adieu au théâtre et à la vie, avec une prémonition déchirante, Molière donne une comédie " mêlée de musique et de danse ", un chef-d'œuvre de force et de gaieté. À 51 ans, épuisé, il coiffe le bonnet d'Argan, le malade imaginaire esclave de sa manie et jouet de ses nerfs. Bourgeois hypocondriaque, il prétend marier sa fille, l'impertinente et joyeuse Angélique, à ce nigaud de Thomas Diafoirus, son médecin personnel. Plus pitoyable que méchant, celui-ci rêve que la Faculté le reçoive comme l'un des siens. Molière compose la plus puissante satire qu'on fit jamais sur cette science parfois imbécile. Pour faire rire, il fait du faux avec du vrai, et donne le spectacle bouleversant de sa propre agonie.
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