- EAN13
- 9782267050684
- Éditeur
- Christian Bourgois
- Date de publication
- 04/05/2023
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
Autre version disponible
William S. Burroughs, l’un des « hommes de lettres » les plus novateurs et
controversés du XXe siècle, a puisé dès ses débuts la matière de ses livres
dans ses échanges épistolaires, qui sont autant de dialogues entre fondateurs
de la mythique Beat Generation. La correspondance rassemblée ici couvre une
période d’une quinzaine d’années mouvementées : en 1945, Burroughs vit à New
York, découvre la drogue qu’il consomme avec Jack Kerouac et Allen Ginsberg,
puis poursuit seul son voyage jusqu’au « terminus de la came » ; en 1959, le
voici établi à Paris dans le légendaire Beat Hotel, rue Gît-le-Cœur. Il publie
enfin Le Festin nu, récit halluciné qui donne à l’écrivain sa réputation
scandaleuse, et découvre la technique du cut-up. Entretemps, il aura séjourné
au Texas, à Mexico, Lima, Rome, Londres ou encore Tanger. Véritable plongée au
cœur de ses amitiés – en particulier avec Allen Ginsberg – et de son processus
d’écriture, ce recueil est un témoignage foisonnant d’une histoire littéraire
désormais passée à la postérité. William S. Burroughs, né à Saint Louis en
1914, s’installe après ses études à New York, devient héroïnomane et commence
à écrire. Après avoir tué sa femme accidentellement, il s’éclipse en Amérique
du Sud, puis à Tanger, avant de rentrer à New York en 1975 où il s’impose
comme figure tutélaire de la scène underground, jusqu’à sa mort en 1997.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Gérard-Georges Lemaire et Céline Leroy.
« Peut-être que le véritable roman, ce sont les lettres que je t’envoie. »
William S. Burroughs à Allen Ginsberg
controversés du XXe siècle, a puisé dès ses débuts la matière de ses livres
dans ses échanges épistolaires, qui sont autant de dialogues entre fondateurs
de la mythique Beat Generation. La correspondance rassemblée ici couvre une
période d’une quinzaine d’années mouvementées : en 1945, Burroughs vit à New
York, découvre la drogue qu’il consomme avec Jack Kerouac et Allen Ginsberg,
puis poursuit seul son voyage jusqu’au « terminus de la came » ; en 1959, le
voici établi à Paris dans le légendaire Beat Hotel, rue Gît-le-Cœur. Il publie
enfin Le Festin nu, récit halluciné qui donne à l’écrivain sa réputation
scandaleuse, et découvre la technique du cut-up. Entretemps, il aura séjourné
au Texas, à Mexico, Lima, Rome, Londres ou encore Tanger. Véritable plongée au
cœur de ses amitiés – en particulier avec Allen Ginsberg – et de son processus
d’écriture, ce recueil est un témoignage foisonnant d’une histoire littéraire
désormais passée à la postérité. William S. Burroughs, né à Saint Louis en
1914, s’installe après ses études à New York, devient héroïnomane et commence
à écrire. Après avoir tué sa femme accidentellement, il s’éclipse en Amérique
du Sud, puis à Tanger, avant de rentrer à New York en 1975 où il s’impose
comme figure tutélaire de la scène underground, jusqu’à sa mort en 1997.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Gérard-Georges Lemaire et Céline Leroy.
« Peut-être que le véritable roman, ce sont les lettres que je t’envoie. »
William S. Burroughs à Allen Ginsberg
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