La sans-visage

Partie en colo pour retrouver Aïssa, sa meilleure amie, dont elle est séparée depuis qu'elle a déménagé ,Clara va vite déchanter. La colo ne lui plait guère, elle qui rechigne à l'effort sportif, et Aïssa ne se montre pas à la hauteur de ses attentes. Percluse de jalousie et engluée dans une possessivité puérile, Clara va passer sous silence le mauvais traitement que l'on fait à Eléonore, à l'instar des autres adolescent.te.s du groupe, bien trop occupé.ée.s à plaire à la fille populaire. Jusqu’à la disparition de Éléonore.
Louise Mey analyse finement comment le harcèlement s'installe et prend racine, ne pose jamais un regard dénonciateur, maîtrise de belle façon la montée sous tension, dans un éclatement du récit réussi.
Dès 12 ans.

C'est l'histoire d'une colo, d'un groupe d'ados, d'une jeune fille qui disparaît. Pas besoin d'en dire plus. Louise Mey a déjà prouvé en litterature adulte qu'elle maîtrisait le thriller psychologique et c'est chose qu'elle réitère en littérature ados. Elle fait monter la pression crescendo tout au long du roman. Elle focalise sa narration sur un personnage, celui de Clara, ça devient presque anxiogène... Bref un thriller réussi.

C'est l'histoire d'une colo, d'un groupe d'ados, d'une jeune fille qui disparaît. Pas besoin d'en dire plus. Louise Mey a déjà prouvé en litterature adulte qu'elle maîtrisait le thriller psychologique et c'est chose qu'elle réitère en littérature ados. Elle fait monter la pression crescendo tout au long du roman. Elle focalise sa narration sur un personnage, celui de Clara, ça devient presque anxiogène... Bref un thriller réussi.