- EAN13
- 9782363710376
- ISBN
- 978-2-36371-037-6
- Éditeur
- Pierre-Guillaume de Roux
- Date de publication
- 22/08/2012
- Collection
- PGDR EDITIONS
- Nombre de pages
- 200
- Dimensions
- 20,2 x 12,6 x 1 cm
- Poids
- 140 g
- Langue
- français
Langue fantôme essai sur la paupérisation de la littérature
suivi de Éloge littéraire d'Anders Breivik
De Richard Millet
Pierre-Guillaume de Roux
Pgdr Editions
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Vendu par Librairie La Courte Échelle16.00
LE ROMAN QUI NOUS TUE
Faut-il se lamenter sur le sort du roman français, quasiment absent de la scène internationale ? Pas si sûr quand on mesure à quel niveau d’abêtissement conduit le roman dit « international ». Ainsi Umberto Eco n’a-t-il pas hésité à « réécrire » Le Nom de la rose à l’intention des lobotomisés du Culturel : suppression des citations latines, passages amputés des descriptions, appauvrissement du vocabulaire. Un processus de vulgarisation où seul subsiste le scénario, en attendant le video game. Ce qu’on appelle encore « roman » est ainsi devenu le lieu même de la destruction de la langue et de la littérature. La tiers-mondisation culturelle de la France le proclame de toutes parts. Et quand, à la mise à mort de la littérature, s’ajoute la négation de l’idée de nation, n’est-ce pas au néant qu’on donne droit de cité ? Ainsi, le massacre perpétré par Anders Breivik, en Norvège, loin de constituer l’acte d’un homme seul, encore moins celui d’un aliéné, renvoie-t-il les politiques et agents « culturels » au miroir d’une société qui, par-delà le scénario « multiculturaliste », a choisi de renoncer à toute communauté de destin, à ses racines vivantes, chrétiennes, donc littéraires.
POINTS FORTS
Histoire de la dégradation accélérée de la littérature à travers le roman international,
Constat de la tiers-mondisation culturelle du roman français,
Portrait impitoyable des marionnettes médiatiques nobélisées, labélisées, lobotomisées,
Décryptage du « récit » fait du massacre commis par Anders BreiviK
Faut-il se lamenter sur le sort du roman français, quasiment absent de la scène internationale ? Pas si sûr quand on mesure à quel niveau d’abêtissement conduit le roman dit « international ». Ainsi Umberto Eco n’a-t-il pas hésité à « réécrire » Le Nom de la rose à l’intention des lobotomisés du Culturel : suppression des citations latines, passages amputés des descriptions, appauvrissement du vocabulaire. Un processus de vulgarisation où seul subsiste le scénario, en attendant le video game. Ce qu’on appelle encore « roman » est ainsi devenu le lieu même de la destruction de la langue et de la littérature. La tiers-mondisation culturelle de la France le proclame de toutes parts. Et quand, à la mise à mort de la littérature, s’ajoute la négation de l’idée de nation, n’est-ce pas au néant qu’on donne droit de cité ? Ainsi, le massacre perpétré par Anders Breivik, en Norvège, loin de constituer l’acte d’un homme seul, encore moins celui d’un aliéné, renvoie-t-il les politiques et agents « culturels » au miroir d’une société qui, par-delà le scénario « multiculturaliste », a choisi de renoncer à toute communauté de destin, à ses racines vivantes, chrétiennes, donc littéraires.
POINTS FORTS
Histoire de la dégradation accélérée de la littérature à travers le roman international,
Constat de la tiers-mondisation culturelle du roman français,
Portrait impitoyable des marionnettes médiatiques nobélisées, labélisées, lobotomisées,
Décryptage du « récit » fait du massacre commis par Anders BreiviK
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